Grand Prix de France : des animations en mode deux-temps

Le Grand Prix de France est devenu, depuis quelques années, une des dates clés du championnat du monde MotoGP. Sous la houlette de Claude Michy, le promoteur, le tracé Bugatti propose des activités toujours plus nombreuses et variées.

Il y a quelques années, Claude Michy, qui est également le président du Clermont Foot en Ligue 2, mettait ainsi en place les rencontres entre les pilotes et le public. Cette année, le Grand Prix de France a décidé de mettre l’accent sur l’histoire de la compétition.

La Yamaha avec laquelle Christian Sarron obtiendra le titre en 250cc en 1984. (Photo Yamaha Racing)

La Yamaha avec laquelle Christian Sarron obtiendra le titre en 250cc en 1984. (Photo Yamaha Racing)

En collaboration avec l’association Spirit of Speed, le Grand Prix a déjà prévu d’exposer plusieurs machines de légendes, comme la Yamaha OW48 de Kenny Roberts, la Cagiva de Randy Mamola ou encore la Suzuki de Barry Sheene. Ces machines, ayant marqué l’histoire de la 500cc, ne se contenteront pas de rester en statique dans le village. Elles prendront la piste à l’occasion du show mécanique le samedi soir.

La Yamaha Tech3 avec laquelle Olivier Jacque obtiendra le titre en 250cc en 2000. (Photo DR)

La Yamaha Tech3 avec laquelle Olivier Jacque a obtenu le titre en 250cc en 2000. (Photo DR)

Toujours dans son animation L’âge d’or du deux-temps, le Grand Prix de France présentera également les montures avec lesquelles Jean-Louis Tournadre, Christian Sarron et Olivier Jacque ont été titré en 250cc. C’est-à-dire respectivement une Yamaha TZ 250 1982 et une de 1984 ainsi que la OWL5 2000 de Olivier Jacque.

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