L’émotion était palpable pour le lancement de la vente aux enchères de ce qu’il reste de Voxan, mercredi matin 5 avril. Une centaine de lots a été proposée à la vente sur le site même de l’ex-usine, à Issoire (63). Du « tout venant » (petit outillage, matériel divers…), mais surtout quelques lots très recherchés.
Parmi ceux-ci, 21 VX10 non terminées ont finalement été rachetées par le Voxan Club de France, dont beaucoup de membres étaient présents, ainsi qu’il en avait clairement annoncé l’intention. Pour cela, il a dû débourser 46 000 ? – hors frais.
Maître Vassy, commissaire-priseur (imper beige, debout), procède à la vente d’un lot. Beaucoup d’acheteurs potentiels mais aussi de fans de la marque ou de simples curieux sont là. (Photo Pierre Orluc
)
Jeudi 6 mai après-midi, la seconde partie de la vente s’est déroulée cette fois à Clermont-Ferrand. Une quarantaine de lots y ont été proposés, dont des protos (notamment celui de Roadster dessiné par Starck) et autres motos de compétition.
Quelques-uns des membres du Voxan Club de France, autour de leur président, Philippe Aller, et devant les motos qu’ils viennent de racheter en lot. Un grand moment d’émotion. (Photo Pierre Orluc).
Quel gachis!!!! Si tout le monde s etait donné la peine de croire en l aventure Voxan
Une grosse pensee pour les salaries qui se retrouvent au chomage
Xavier.
Une bien triste fin, en effet…
🙁
quand je pense aux mecs qui on laisser leur sueur sur la chaine de montage qui ai parti a seulement 20 000€!!!!!
46k€ pour les pièces!!!!!j’ai l’impression que certains requins avaient envie de ce faire du fric sur les processeurs de voxan!!!!!
je vous laisse je vais vomir!!!!!
Je souhaite bcp de courage aux derniers salariés de VOXAN maintenant.
J’espère voir rouler vos superbes bécanes encore longtemps.
Quel dommage………
Les motards Français ne voulaient pas acheter de moto made in France, alors Voxan est mort. Quel effroyable gachis, quelle tristesse, au moment même ou le titre mondial des rallyes routiers était dans la poche.
pourtant elles valent largement les autres, et je sais de quoi je parle, je roule avec.
contrairement à nos amis italiens, allemands, anglais, ou même américains, nous ne défendons pas notre industrie moto. combien de fois guzzi et ducati ont elles été sauvées ? et harley ?. Ah si voxan avait fabriqué des voitures, des avions ou même des centrales nucléaires, l’usine existerait toujours.
Tant de talent, tant d’efforts pour en arriver là. Non, nous ne méritions pas d’avoir une marque de motos Françaises.
Encore merci à la Société générale !