D’après l’excellllent blog consacré à Valentino Rossi, nous avons appris que l’idole s’est une nouvelle fois distinguée. Au volant d?une Ferrari 430 Scuderia, Valentino Rossi a disputé ce week-end les Six Heures de Vallelunga, près de Rome, épreuve d?Endurance auto.
Malgré une violente sortie de route aux essais, il a tourné plus vite que ses coéquipiers, professionnels de la discipline, Alessio Salucci et Andre Ceccato. En course, il se classe 3e de la catégorie GT3 !
Comment pas un seul commentaire ? Moi je dit MERCI Thomas !
Il faut noter que le lecteur de Moto Journal est très polis…
Alessio Salucci, ce serait pas Uccio, le meilleur pote de Vale???
Salut les fidèles lecteurs polis !
Effectivement, ça fait plaisir de voir votre réactivité. En ce qui concerne Uccio, oui, c’est bien le porte-dentier de Valentino sur les GP (!), comme quoi, quand il conduit le Motorhome de Vale sur les circuits européens, il ne doit pas trainer.
Citons au passage l’hommage du vainqueur Emmanuele Pirro à Rossi : « c’est un authentique champion, qui n’a pas peur de risquer son prestige dans d’autres disciplines où il est moins fort. » Chapeau l’artiste.
Tant que j’y suis, j’essairai de vous dégoter demain une image de Vale en cross, car là non plus, il n’est pas manchot.
A ciao. Toto
y’en a de l’actualité sur le blog MJ en ce moment!!!
ça aide à passer les mauvais jours, continuez comme ça 🙂
Le porte-dentier, tom t dur mais c vrai que c ça, un porte manteau ambulant…
Notez la Ferrari noire mat , c’est la classe avec un gros 46 dessus , ça va même plus loin, finalement peu importe la monture (aprilia, honda, yamaha, peugeot,ferrari) quand c’est Valentino qui pilote sa personnalité écrase l’image du constructeur et au final qui gagne ? Rossi ! et tampis pour le constructeur …
C’est vrai, Rossi attire tout à lui. Les psys expliquent ça en disant que les grands sportifs ont besoin de tout posséder (y compris un peu d’argent) pour gagner. Valentino constitue un bel exemple. Mais je suis plus curieux de l’explication des chronos de son pote Uccio. Où a-t-il chopé un tel coup de volant, cet animal ? C’est qu’il n’y avait pas que des branquignols à cette course… (Emmanuele Pirro, par exemple)