Triumphal déménagement

Diagonale Moto 78, concession Triumph dirigée par la dynamique Audrey que nous vous avions présentée dans le supplément Ile-de-France du MJ 2046, vient d’ouvrir son nouveau showroom consacré à la gamme britannique, d’une superficie de 600 m2, sis 15, quai Conti, à Louveciennes (78). Le bouclard originel, au 247 rue Gabriel-Péri, à Montesson, sera désormais consacré à la vente de motos d’occasion des autres marques ainsi qu’à leur entretien.

Audrey débarque dans Louveciennes à la tête de son équipe !

Audrey débarque dans Louveciennes à la tête de son équipe… mais elle s’est trompée de drapeau !

 



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7 commentaires sur cet article
  1. le prof Turbled

    Supplément Ile-de-France? Et les cul-terreux alors?
    Cré vingt-diou! Allez la Marie, fissa, sors moué les deux vaches, que je les compte!!!

    Malgré l’ostracisme dont nous sommes frappés, nous les provinciaux, notre bon sens paysan nous aide à séparer le bon grain de l’ivraie. C’est donc avec la modestie qui sied au gens de peu que je vous ferais remarquer, cher Maître, que la tant dynamique que peu frileuse Audrey ne puis brandir l’Union Jack impunément, la nature lui ayant octroyé une plastique toute française, à laquelle une angloise ne saurait prétendre, ayant le corps tant tiraillé et déformé par la mauvaise alimentation traditionnellement absorbée par les sujets de sa Majesté que par la rancœur secrètement nourrie par ces îliens de n’être point nés Français.

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  2. Frédéric Pé

    Allons, cher Prof, l’heure n’est plus à la mammaire taquinerie tandis qu’Albion la perfide menace de creuser plus encore le channel manchois qui, avec la sauce à la menthe et le port du melon, la sépare du continent ! Union européenne de tous les bonnets ! Non au breast-xit ! Vive l’amitié francodigitalo-nichobritannique ! Victoria, Margaret, Elizabeth, on vous love !
    et tout ce genre de chose…….

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  3. le prof Turbled

    Évidemment, s’il s’agit d’allier les travaux pratiques manuels, dont vous savez en quelle haute estime je les tiens, à l’assimilation culturelle cognitive de nos civilisations respectives, alors j’admets qu’une possibilité ténue d’ébauche de passerelle puisse être prolongée entre nos deux rivages, gris, pluvieux et froidureux chez les (h)uns, bleu, ensoleillé et riche en calories chez les autres.

    Bon, en réalité, je les kiffe grave, les britons, avec leur fighting-spirit et leur pragmatisme, et ma conscience durement me taraude de les brocarder ainsi pour le fun.

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  4. Frédéric Pé

    Quoi ? mollesse indulgente envers l’Anglois ? tentative de cordialité, voire d’entente avec l’ennemi héréditaire ? Malgré Azincourt ? Jehanne ? Water-l’Eau ? Twickenham ? et encore le récent manchestericide ???? Montjoie ! Le Professeur devient prof-and-sister ! trahison ! abomination ! enfer et condamnation !!!!! sang et tripes ! bonté divine… et tout ce genre de chose !

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  5. le prof Turbled

    Ânon, cher Maître! Vous extrapolez de ma juste admiration pour un ennemi dur au mal, qui souvent nous bouscula cul par dessus tête par la faute de notre impéritie nationale, génétique et récurrente dans l’art de la guerre. Que celle-ci soit économique, sportive, ou totale. Vous extrapolez, disais je, une possible connivence de ma part avec ce peuple sans vignobles ni véritables fromages. Que nenni! Qu’ils nous rendent Chandernagor, Pondichéry et le Québec. Alors nous verrons!

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  6. Frédéric Pé

    je crois que c’est Fredo l’Nitezsche qui disoit :  » on a besoin d’ennemis pour les haïr, pas pour les mépriser…. » Vous rejoignez, cher Prof, le fier moustachu dans l’élégante pratique de la haine avec distinction, c’est la classe. Je conçois à présent que ma détestation farouche pour le rouquin d’outre-moche je veux dire outre-Manche m’aura quelque peu obscurci le jugement et déclare par la présente regretter d’avoir osé suspecter en votre être irréprochable la moindre faiblesse en la séculaire antagonismie qui nous lie, depuis 950 ans, avec l’albionnique rival ! A l’hallali, taïaut et reviens-zy Grouchy !

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  7. Frédéric Pé

    Ce n’est pas sans une certaine émotion que, rompant avec les propos facétieux qui précèdent, je plie mon knee aux nobles pieds de Sa Très Gracieuse Majesté et lui souhaite le plus zappy des birthdays… Quand je pense qu’y a une tite quarantaine de piges, en écoutant Never mind the bollocks, on envisageait sereinement le riot tsunamiesque ferait table rase de la Couronne au profit de la République Démocratique d’Angloisie… Cheers, ma’am !

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