L’appel d’offre continue pour les radars embarqués

Les radars embarqués continuent de faire parler d’eux. Le gouvernement cherchent actuellement des entreprises pour gérer les véhicules.

Le ministère de l’intérieur a lancé le 20 avril dernier un appel d’offre de marché publique pour les entreprises privées afin d’exploiter les radars mobiles dans la région Normandie. Presque 4 mois avant l’échéance de la période test, le gouvernement français cherche déjà des sociétés afin de gérer ces véhicules. En effet, pour l’instant seuls des représentants des forces de l’ordre sont autorisé à conduire ces véhicules.

Nouveaux rebondissements pour les radars embarqués

Nouveaux rebondissements pour les radars embarqués. (Photo DSCR)

Des véhicules radars coûteux

Aucun chiffre n’a, à ce jour, prouvé l’efficacité de ces radars par rapport au coût des équipements 70 000€. A savoir, il faut compter à l’achat et 18 000€ d’entretien annuel. Ces véhicules qui ont donc coûté presque 90 000€ pièce sont près de 400 en France. De plus, l’échantillon de Normandie, qui sera la première région à privatiser ce « service » de l’État comprend une vingtaine de voitures.

Christophe Ramond, délégué interministériel à la sécurité routière

La marge d’erreur est forcément plus importante que pour un radar fixe, puisque le véhicule se déplace lui-même. Du coup, sur l’autoroute qui est limitée à 130km/h, seront flashés les véhicules circulant au-delà de 143 km/h. La même chose est applicable sur le réseau secondaire puisque ne seront flashé que les véhicules dépassant 101km/h sur les route limitées à 90km/h .



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1 commentaires sur cet article
  1. J’veux bien m’en occuper moi d’leurs radars !!
    J’suis expert en matériel de racket (département destruction et recyclage)
    Avant je gérais une société de détecteurs d’enfoirés … mais j’savais plus suivre niveau boulot… j’ai du abandonner

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